RETROUVER UNE TAILLE FINE!

Perdre du poids, des formes ce n’est pas évident ! Mais avec beaucoup de volonté personnelle et un suivi (par des spécialistes), on peut arriver à se tirer d’affaire.
Mais comment tenir le coup et quelles sont les attitudes à adopter ?
Nos conseils. 

Pour commencer, il est important de faire la différence entre le fait de maigrir et celui de mincir.

• Maigrir consiste à perdre du poids, à éliminer les graisses et concerne en général les personnes, dites obèses, grosses. Des personnes qui ont vraiment quelque chose à éliminer.

• Mincir, c’est affiner son corps ou une partie du corps. Dans ce cas, on peut ne pas être grosse, mais rechercher à avoir une allure plus svelte, fine, effilée, fluette.

En général, quand on parle de minceur, on voit les centimètres, le volume à perdre. Et cela concerne particulièrement les femmes qui ont un problème de cellulite, de culotte de cheval, de rétention d’eau et qui veulent réduire un peu tout ça.
«Il faudrait savoir aussi que l’action entreprise pour faire maigrir quelqu’un, c’est d’influencer sa façon de manger, de changer ses habitudes alimentaires, créer de nouveaux réflexes par rapport à la bouffe. Par contre pour mincir, on aura plus recours au sport, aux massages et, à un degré moindre, à la fonte de quelques kilos en plus.» Révèle Dr. Rihard, nutritionniste diététicien qui a mis sur le marché une gamme de boissons amaigrissantes, amincissantes naturelles baptisées «Profile».
Mais, en général, en dehors des problèmes d’obésité liée à la génétique (le fait d’être gros peut être héréditaire), on prend du poids, soit parce qu’on consomme de la nourriture en excès soit, parce que la consommation est mal équilibrée. On peut penser qu’on mange de façon raisonnable, ordonnée, mais ce n’est pas souvent le cas.
Les graisses animales, les fritures, les viandes rouges, les boissons sucrées, l’alcool, les pâtisseries… font partie de notre quotidien, à profusion.
Il y a aussi les mauvaises associations, des combinaisons alimentaires qu’on fait : Dans certains repas on trouve un peu de tout : sucres (pâtisseries et boissons sucrées), graisses (d’origines animales, fritures…) protéines (viandes, poissons œufs…) etc., qui reviennent à glucides, lipides, protides…
Des mélanges souvent explosifs qui, à long terme, ne font pas du bien à l’organisme.
C’est le cas du lait au chocolat dans le quel on ajoute du sucre blanc ou encore du foutou igname ou banane associé à de la sauce graine avec tous les ingrédients que sont la viande de porc, de boeuf, les crabes, les escargots, le poisson…
Le drame, c’est aussi quand on mange ces plats lourds, la nuit, à la descente du boulot. Il y a des gens qui ne peuvent pas se passer de leur foutou igname à 20 heures. Ce qui n’est pas une bonne habitude. L’organisme déjà fatigué aura du mal à «travaillé» cette nourriture pour vous permettre de bien digérer et c’est avec cela que vous allez vous coucher. Terrible !
Autre problème qui engendre la prise de poids : la sédentarité. On ne pratique aucun exercice physique, même pas la marche ! Et à long terme, cela ne permet pas l’élimination naturelle des calories stockées sous forme de graisses.
Alors, comment se débarrasser de ces kilos ? Plusieurs options s’offrent à vous, c’est clair.
Et nous essaierons au fil des semaines de rencontrer des spécialistes sur la question.

Dr. Rihard, nutritionniste et diététicien livre quelques petits topos.
«Quand je reçois dans mon cabinet des patients, le seul objectif des programmes que j’ai mis en place, c’est de leur permettre de perdre du poids et de ne pas en reprendre. Ne pas avoir faim et ne pas être fatigués aussi. Il s’agit de programme amaigrissants et amincissants spéciaux baptisés Yakin.
Cela commence déjà par un questionnaire sur l’âge, les habitudes alimentaires (Etes-vous gourmand, est-ce que vous grignotez, est-ce que vous mangez sucré, Est-ce que vous buvez beaucoup d’eau ? Est-ce que les parents sont gros ? Quand tu as des soucis, est-ce que tu manges plus ?). On essaie de voir aussi tous les systèmes : le rein, la circulation sanguine, les nerfs. Mais aussi les activités professionnelles ou extraprofessionnelles, le rythme de vie…
Tout cela permet de cerner la personne à laquelle on a affaire et de lui proposer un programme personnalisé qui lui conviendrait. Dès qu’on a trouvé la cause de la prise de poids, c’est vachement plus facile pour nous.»

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